Tous les gens que j’ai rencontrés dans ma vie, ceux que j’ai aimés autant que ceux avec qui j’ai eu des conflits, aspiraient à ressentir le bonheur. Paradoxalement, tous, moi y compris, ont fui le bonheur. Nous l’avons fui par peur de perdre, par peur de souffrir, par peur d’ouvrir de vieilles blessures, par peur de vivre de l’abandon, du rejet, de l’humiliation, de la trahison, de la déception, de la dévalorisation ou de se perdre dans la dépendance ou les jeux de pouvoir.
Le chemin pour atteindre des moments de bonheur est bien souvent le même que celui que nous avons peur de prendre et, de ce fait, comme le disait, Scott Peck : "le chemin le moins fréquenté".
Choisir, consciemment ou inconsciemment de fuir ce qui nous fait peur nous condamne à l’insatisfaction, au manque, à l’isolement, à la non-existence, à la méfiance, à la non-valeur et finalement, bien souvent, à la dépendance et aux jeux de pouvoir avec des personnes que nous aimons, mais dont notre fuite nous éloigne.
Cesser de fuir le bonheur, c’est canaliser nos énergies à franchir plutôt qu’à fuir.
Cesser de fuir le bonheur, c’est apprendre à s’écouter, se suivre et s’affirmer.
Cesser de fuir le bonheur, c’est s’engager envers soi.
Cesser de fuir le bonheur, c’est aller à la rencontre de soi et de l’autre.
Cesser de fuir le bonheur, c’est devenir l’auteur et le réalisateur de notre vie.
Cesser de fuir le bonheur, c’est se bâtir, s’investir et s’épanouir
Cesser de fuir le bonheur, c’est se dépasser pour ressentir de la fierté.
Cesser de fuir le bonheur, c’est s’ouvrir pour donner et recevoir.
Pour arpenter ce chemin, il est sécurisant et souvent propulsant d’être accompagné, supporté et guidé. C’est ce que je vous offre à travers mes écrits, mes conférences, mes ateliers de groupe ainsi qu’en consultation individuelle.
Il n’en tient maintenant qu’à vous de vous choisir et de faire un pas de plus vers votre bonheur.
Tous droits réservés : Éditions Usmose
Comentarios